:: Laboratoire psychique :: La Prez' :: Street credibilite Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

Sue me.

Molly Jekyll Datass





Molly Jekyll Datass
ou Évrard Hydeaway
Ven 16 Fév - 21:33

Molly Jekyll

{ ou Évrard Hydeaway }

+ Nom complet : Évrard Hydeaway (nom de baptême), Molly Jekyll Datass (nom de scène et de nouvelle vie) + Âge et date de naissance : 1993, 24 ans + Lieu de naissance : Alymer + État civil : Célibataire + Métier/Études : Dragqueen de profession + Addiction à : MDMA + Groupe : Faucheuse + Personnalité sur l'avatar : Laila McQueen + Crédits : BoogyLou + Les remerciemments : non + La dédicace à ton pote Jojo : hey j'ai dit non


Le caractère du personnage Molly et Évrard sont deux personnages complètement différents. Un même corps, un même cerveau et un même coeur peuvent-ils supporter deux être? Grâce à la MDMA, Molly se convainc que oui.

Évrard est un jeune homme mignon, complètement timide et réservé. Dû à un passé qui ne lui a jamais fait hommage, il possède une très faible estime de soi. Son coeur est fragile : un commentaire ou même un regard sans admiration lui tort les tripes et lui donne envie de se fonder sous le tapis. Tout le monde est plus beau et plus talentueux que lui. Très sensible, il pleure souvent et donne toute son énergie à respecter son prochain, à donner, aider et faire acte de politesse. Dans une relation, c'est un agneau doux et discret.

Molly est quelque chose de très hypocrite si ce comportement peut lui ramener quelque chose. Elle prend naissance qu'une fois sa MDMA avalée. Elle n'a que de rares amis, et n'hésite pas à sortir les crocs si on l'attaque, de près comme de loin. Si tu ne lui lances pas des liasses d'argent, c'est de la pure méchanceté qui la poussera à te trucider. Elle est capable d'agressivité verbale comme physique très spontané. Dans n'importe quel lieu public, sa présence est bruyante, festive et beaucoup trop
extra. Lorsque Molly désire quelque chose, elle devient tout à fait harcelante. Si elle n'a pas l'attention qu'elle désire jusqu'à la dernière miette, c'est l'impatience puis la violence qui s'emparera d'elle.  De ce fait, l'humour à teinte ultra vulgaire sort souvent de sa bouche maquillée. Sur scène, elle est tout ce qu'il y a de plus trash et sexuelle de la scène clandestine de Montréal.

Elle allume les hommes et femmes puis les jette comme ses cigarettes. À chaque nouvelle nuit un nouvel amant et un nouveau lit. Très rares sont ses relations d'amis qu'elle traîne dans sa vie, et presque inexistants sont les âmes ayant vu l'intérieur de son appartement crade sur De Lorimier, non loin du pont. Les nouvelles lumières qui ont coûté des millions s'exclament à chaque matin de son retour du travail. Du moins, c'est ce qu'elle se dit.

On pourrait la croire incapable d'aimer autre qu'elle-même, complètement narcissique et arrogante. Son expression favorite est «Sue me» qui est l'équivalent de «qu'est-ce que tu vas bien y faire que mon comportement te dérange, hein? me poursuivre?»


Description brève des hallucinations But he had an approved tolerance for others; sometimes wondering, almost with envy, at the high pressure of spirits involved in their misdeeds; and in any extremity inclined to help rather than to reprove. "I incline to Cain's heresy," he used to say quaintly: "I let my brother go to the devil in his own way." In this character, it was frequently his fortune to be the last reputable acquaintance and the last good influence in the lives of downgoing men. ''Quiet minds cannot be perplexed or frightened but go on in fortune or misfortune at their own private pace, like a clock during a thunderstorm.''

Chapter 1, The Strange Case of of Dr. Jekyll and Mr. Hyde



TEST RP

C'est toujours le même rituel, c'est juste que je le fais dans un nouvel appartement.

Il y eut le bruit d'un camion qui passait dans la rue qu'on voyait depuis la fenêtre de sa minuscule salle de costume et de maquillage barbouillée de perruques et de robes un peu partout.

Je prends un cristal de Molly suffisant et l'ingère en me regardant dans la glace de mon miroir à ampoules brillantes. C'est un bruit atroce de goût sur ma langue. J'avale, comme j'aime toujours le faire.

Puis je commence à crémer mon visage, pour ensuite mettre de la colle sur mes sourcils, puis du countouring, des highlights, des sourcils magnifiquement dessinés, du fard à paupière, une mouche en coeur, des lèvres plastiques et des quatre paires de faux cils long comme tout.

Ensuite je mets ma long robe sirène, noire de diamants, et ma perruque favorite. J'adore un choker et des faux ongles. Mes talons hauts ne sont pas visibles sous le tissus, mais on peut très bien se les imaginer rouge ou surprise.

Je sors et marche. Les gens s'exclament, se retournent, sourient, s'arrêtent. Je feins comme si de rien était et je salive. Ma marche dure l'éternité, puisque je me sens flotter. Je touche le sol comme si je le propulsais doucement derrière moi. On me suit du regard. On se demande si je me dirige bien vers l'incontournable point de non retour. La gigantesque statue sale de Mado m'invite à entrer dans son cabaret. Je ne me prie pas. Le doorman me regarde avec stupéfaction, sans me demander de billet. J'ai un sourire en coin que je ne peux plus dissimuler. Mes hanches prennent la place de l'assurance dans ma démarche voluptueuse et rapide.

On s'exclame, se retourne, sourie, s'arrête, ouvre la bouche et s'immobilise. Je m'avance vers la scène. Il y a une dragqueen à moitié nue qui se déhanche sur scène sur une chanson de Shakira. Le public me veut, la nunuche en performance me regarde d'un mauvais oeil. Je ne m'arrête pas de marcher vers la scène. Tout est si long. Je sens le vent enduire mes cheveux longs. Comme des caresses. Presque comme le les gens tentaient d'agripper les pans de ma robe parfaite. À droite, au fond, au bar, une sis' avec micro me regarde du haut de ses trois perruques superposées... L'animatrice? Ça?

Je monte sur scène sans rien demander à personne. C'est un jeu d'enfant. N'importe qui peut faire n'importe quoi qu'il veut de sa vie, non? Je saisit habilement le trépied et toise de très haut la qween qui s'est interrompue et qui ne suit plus la musique. Mauvais lipsync, gurl.

L'animatrice viens vers moi. Le public, je ne le vois pas car j'ai un spotlight dans la face, mais je le sens en haleine. Je le sens sur le bout de mes doigts et dans mes pores de peau. Je me dépêche, avant que l'on pense à me couper :

« Il n'y a plus rien d'excitant à vos performances... »

Le DJ cesse la musique. Bien.

« Je m'offre à vous pour vous divertir, avec le talent et le mérite d'une vraie reine. Cessez d'encourager les salopes! »

Je ne sais pas si tout le monde a entendu ma dernière phrase, on me hue beaucoup trop fort. Je n'ai pas le choix de signer :

« Oui, criez pour moi! La meilleure! Molly Jekyll... Datass! »

Je montre le padding de mes fesses à croquer puis mordille mon doigt. Je débarque de scène en voyant la sécurité se presser. Bon, vaut mieux tard que jamais, hein! Puis, on me lance un verre au visage. Le liquide chatouille mon aura, et je ris comme du velours. Je me tourne vers lui. C'est un ado attardé complètement saoul.

Je me déhanche vers lui, tel un serpent vers sa proie, doucement. Je le fixe, les sourcils peints en arrogance. J'envahie sa bulle d'un raide coup, et viens respirer à quelque millimètre de sa joue. Qu'il se laisse faire, je tire ses cheveux vers l'arrière pour le plier en deux vers l'arrière, plié à moi.

« La perfection attire l'éjaculation des plus précoces! »

Je lui donne un baiser sur la joue qui laisse une énorme bavure que je liche sans aucun dédain. Il se débat et je le lâche, puis quitte le bar.

Maintenant, il ne suffisait que de trouver quelqu'un pour m'embaucher.

Pseudo + BOOGYLOU Sue me.        4163114176 Âge + 22 Sexe + F Temps de connexion + 7/7 Comment as-tu connu le forum + Sue me.        4163114176 Que penses-tu du forum? + talented brilliant incredible amazing showstoping spectacular never the same totally unique completely not ever been done before unafraid to reference or not reference Quel est la capitale de Honduras? + ta mère Scénario + NON. À remplir +

Code:
<span class="point">Laila Mcqueen +</span> [i]molly jekyll datass[/i]

made by BoogyLou.



Sue me.        Tumblr_inline_p2e220Ekv01qjxwsg_400
Revenir en haut Aller en bas
Molly Jekyll Datass





Molly Jekyll Datass
ou Évrard Hydeaway
Ven 16 Fév - 21:33

Redneck Power

{ une histoire }

« Alymer [...] personnellement je trouve ça fucking sketch là-bas. »
- Bunny

Un village castrant, conservateur, francophone et bourré majoritairement d'anglophones, sur une frontière entre deux provinces qui s'haïssent la face. À mes 15 ans, j'aurais peut-être pu dire que de vivre dans un trou de merdes à rat comme ça m'a certainement déchiré. Déchiré l'âme et l'anus, ouais.

On m'a baptisé Évrard pour de vrai. C'est un nom de 1800 si je me trompe pas. Mon père aussi s'appelle Évrard. Je vous laisse deviner le nom de mon grand-père. C'est pas important, de toute façon ils ont tous «taré d'arriérés» comme middle name. Mon grand-frère le héros est partie se faire tuer à la guerre avant que je naisse, pis ma mère a réussi à me cacher jusqu'à mes 15 ans qu'elle se faisait battre et agresser sexuellement par mon père pis mon oncle. Une gang de trous de cul, mais pas comme je les aime.

On habitait au fond du quatrième rang. Pour les gens autour Alymer, c'était comme dire qu'on habitait leur sous-sol : ils savaient c'était où, connaissaient les histoires rattachées, pouvaient parler de la valeur du terrain, de l'habitation, des plans de mari qui eussent étés, étaient et seraient dans les alentours, combien de génération et quels nom de famille il y avait eut sous ce toit... Tout ça et bin plus! Mais parler de la famille qu'il y avait dedans, par contre... À par des rumeurs fausses et salées, on ne savait rien et on ne voulait rien savoir du tout.

Il y avait une Église anglophone, et nous y allions à chaque dimanche, en famille. Mon père priait pour de l'argent. Ma mère n'a jamais voulu me dire pour quoi elle priait. Moi, je priais aussi. C'était obligé depuis que j'étais enfant, et j'avais trouvé quelque chose ressemblant au réconfort à ça. Je me disais que ça ne coûtait rien d'essayer, et j'espérais qu'on entende mes supplications : je ne me sentais pas à ma place, dès mes cinq ans. Ça puait trop tout autour.

J'avais une affection bien particulière pour ma mère qui était ma seule source de lien familial, d'affection, d'amitié et de réconfort. Mon père, lui, picolait au village avec des piliers de bar, gueulait, fumait et jouait. Ses prières pour de l'argent ne furent jamais exaucés, et il s'en demanda pourquoi toute sa vie. Je détestais la maison quand il y était, et lorsqu'il partait, c'était le bonheur de passer du temps seul avec maman. On écoutait Cher à la télévision en mangeant des american apple cheese cake (qui consistait à une tarte au pomme de marque congelé avec une tranche de fromage orange dessus. C'était mes trésors de vie.

J'ai grandit dans cette belle ambiance, et j'ai enfin atteint le secondaire. Ce fut le crash. Comme n'importe quel ado on peut dire. Peut-être pas, non. Au lycée, on s'est mis à m'intimider sérieusement. Je voulais être ami d'une fille, et elle me trouvait bizarre ou pensait que j'avais une obsession envers elle donc me repoussait et me traitait de tous les mots blessants. Les garçons me donnaient des coups de pied, de sac d'école et de ballon surtout.

« Man up for Christ sake! »

J'ai été inscrite, pendant mon été de mes 14 ans, dans la pastorale de l'église anglophone du coin. Mon père commença à prier pour moi, que je devienne un homme et que j'arrive à faire quelque chose de bon dans la vie. Son rêve était que j'aille au front, comme mon grand-frère. J'étais trop terrifié. J'étais terrifié par lui, je me figeais quand je sentais sa présence. J'ouvrais la bouche et je ne parlais pas. J'oubliais toutes les raisons qui faisaient en moi une haine pour lui et je tremblais comme une petite souris piégée.

D'ailleurs, l'oubli est quelque chose de fort chez moi. J'ai beaucoup de mal à me souvenir de moments distincts de mon enfance. Et cet été de mes 14 ans, je ne me souviens de rien du tout. Je me souviens avoir eut très mal en chiant pour des mois après, pis je me souviens avoir vécu un big ass rough feeling en voyant le chat de Madame Côté écrasé sur la route avec ses tripes pis le sang sur l'asphalte. Je me souviens de commencer à avoir peur du noir pour vraiment longtemps, pis je voulais plus rien savoir de quoi que ce soit de religieux. J'avais un satanic feeling about it. Je savais ce qu'il c'était passé. J'étais pas con. J'avais compris que c'est que mon cerveau qui veut oublier certaines choses. Et je suis pas contre pour autant, tu vois ce que je veux dire.

C'est débile comment tout un village peut être au courant d'une situation aussi luciférienne et ne rien dénoncer au nom d'un prêtre de l'Église.

À mes quinze ans je me suis faite une première amie ever. Elle s'appelait Alyssa et je pense qu'elle avait vu des choses en moi... Elle avait 17 ans, et elle avait décroché l'école pour faire la fête. Elle travaillait et avait sa voiture. Elle m'emmenait après l'école, et parfois même pendant, pour fumer des pétards et boire de l'alcool en cachette. J'ai compris c'était quoi avoir une relation. Autre qu'avez sa mère en tout cas.

Un samedi, j'avais skip la pastorale pour aller avec elle. J'en avais plein le cul, et puis je m'étais dit que si mon père m'engueulerait, je lui montrerais mes hémorroïdes. J'avais pas vraiment thought this though.

Alyssa était venue me sauver et on était partis pour Ottawa. J'avais tellement de fun. J'ai capoté raide, tellement que quand elle m'a proposé de faire de la MD, j'ai tout de suite dit oui.

« C'est quoi? »

« De la molly. »

« De la quoi? »

« De la MD, Évy... »

Son sourire, mon accord.

C'est cette soirée-là que j'ai changé. Que j'ai compris l'amour de soi et la putréfaction des autres. J'ai compris que je pouvais choisir, et j'ai choisit d'être autre chose que l'existant de ma vie de merde.

Je suis revenue vers 3h le matin. J'ai pas pensé à mes parents. J'étais bien trop défoncé. La voiture de Alyssa m'a déposé chez nous et je suis entrée dans ma maison avec un immense sourire aux lèvres. Éclaté. Ma mère et mon père étaient dans la cuisine. Il était furoncle, ma mère était plein de restant de pleures.

« Seigneur! Doux Jésus! Évrard! »

« What the hell is going on?! »

C'est là que je me suis rappeler que j'avais du rouge à lèvre, du fard à joue, à paupières, une robe à brillant mauve et une perruque ondulée sur la tête. J'étais un vrai désastre. J'ai complètement ignoré mon père, et j'ai explosé de joie à ma mère. Je me suis jetée dans ses bras.

« Maman! Maman! Je t'aime tellement! Merci maman! Regarde! Regarde-moi! »

Je flattais ses cheveux et pleurait à chaude larme. Elle était douce, parfaite, magnifique.

« Regarde-moi, maman! Comme je suis belle! Je m'aime! Je m'aime enfin! Regarde, ton fils est heureux pour la première fois de sa vie!! »

Et je pleurais, et je pleurais! Et ma maman me regardait et elle pleurait. Elle était sous le choc. Il y avait des pleures, des caresses, des baisers, de l'amour, de la joie, de la tristesse, tout ce qu'il y a de plus beau.

Mon père me pris par la nuque et me foutu sur le sol. Ça n'a pas vraiment fait mal, je n'ai pas senti grand chose, mais les meubles me suivaient autour de moi et mon coeur battait fort dans mes tempes. Il m'arracha la perruque, la robe, frappa mon maquillage, retira mes talons et me martelas de leur aiguille. Je ne sais pas trop comment de temps ça a duré, mais j'étais grafigné au final.

Ce qui a mis fin à la session de coups ce fut ma mère qui arrêta physiquement mon père. C'est la dernière chose que je vis dans cette maison. Je me suis levé, à moitié nu et ensanglanté, et j'ai courut dehors en sachant qu'il n'y avait plus de point de non retour. J'entendis seulement Évrard qui lui criait dessus qu'il ne l'avait pas assez battue et qu'elle avait ruiné leur enfant.

J'ai foncé droit au repère de Alyssa et moi (un cimetière à tracteurs) pas loin du dépanneur du village. Ele me rejoint là le lendemain. On a fugué ensemble pour Ottawa. Nous avons habité en colocation longtemps. J'ai eu le temps de devenir une magnifique dragqueen. Un jour, elle a décidé de foutre le camp du Canada pour explorer le monde et ne plus jamais revenir. J'ai décidé d'aller à Montréal pour y faire ma vie : je voulais vivre la vie du quartier gay.

J'habite autour de Ste-Catherine depuis mes vingt ans.

Depuis ce temps-là, j'ai essayé d'appeler ma mère, pis je lui ai envoyé des lettres. Ça répond jamais. Je sais même pas s'ils sont encore dans la même maison. Je m'ennuie de ma mère as fuck...

Une larme. Elle terminait de se raconter dans son histoire de deux heures, en se maquillant jusqu'à la transformation. Si elle avait l'interview de Fugues, ça serait son heure de brillance et de gloire. Molly se regarda dans la glace en tamponnant l'unique larme voulant quitter son oeil.
Elle se trouva très jolie.


« Je comprends maintenant pourquoi maman priait : regardez moi, je suis si magnifique qu'on me croirait conçu par la main de Dieu. »

Je me lève. J'embrasse le bout de mes doigts, sans contact, et dépose le baiser volatile sur la photo de ma maman collé sur le miroir. La seule photo d'elle que j'ai.

« Merci maman. »

Elle posa devant le miroir, pour elle-même. Parfait, qu'elle se dit. La dragqueen se leva, retira son tablier et saisit le long fouet effiloché. Son numéro commençait bientôt.

made by BoogyLou.

Revenir en haut Aller en bas
Daisy Herbertz





Daisy Herbertz
psychedelic glitch biche
Ven 16 Fév - 22:07
I love you. Sue me.        4260629762 (I’m also very drunk but I still love you)
Revenir en haut Aller en bas
Bibiane Tardif





Bibiane Tardif
prophète incarnée
Ven 16 Fév - 23:56
omg.

moi aussi <3
Revenir en haut Aller en bas
Bérangère Nightingale





Bérangère Nightingale
peste en psychose
Sam 17 Fév - 0:04
OMG UN PERSONNAGE DE GATINEAU Sue me.        795945473 Sue me.        245329873
Revenir en haut Aller en bas
Bibiane Tardif





Bibiane Tardif
prophète incarnée
Sam 17 Fév - 0:21
juste pour toi mon amour
Revenir en haut Aller en bas
Molly Jekyll Datass





Molly Jekyll Datass
ou Évrard Hydeaway
Sam 17 Fév - 0:50
après ça faudra que tu me valides tho hahaha
Revenir en haut Aller en bas
Bérangère Nightingale





Bérangère Nightingale
peste en psychose
Sam 17 Fév - 10:02
Sue me.        4163114176
Revenir en haut Aller en bas
Bérangère Nightingale





Bérangère Nightingale
peste en psychose
Lun 19 Fév - 11:29

VALIDATION APPROVED

Ma tante Rita c'est la meilleure tho

Alymer + Yo, genre Sue me.        4163114176

Drama queen + Pauvre p'tite Molly. T'inquiète, on va l'aimer même avec son caractère... somehow lol Sue me.        3830584076

Sue me + Ça s'en vient grande folle Sue me.        245329873 Awaille bienvenue. Ça fait du bien d'avoir de la diversité de même sur les forums rpg (encore plus cool quand c'est le nôtre tsé). Vient donner vie aux soirées de la rue Sainte-Catherine, on attend juste ça !  Sue me.        4169207064  Sue me.        1280497540  Sue me.        4268945242

made by BoogyLou.

Revenir en haut Aller en bas
Bibiane Tardif





Bibiane Tardif
prophète incarnée
Lun 19 Fév - 11:31
sue me
Revenir en haut Aller en bas





Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Bad Bad Trip :: Laboratoire psychique :: La Prez' :: Street credibilite-
Sauter vers: