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hymne à la joie

Alex DeLarge





Alex DeLarge
I'm singin' in the rain...
Mar 6 Fév - 22:24

Alex DeLarge

"Comme un lac de montagne monsieur. Aussi clair d’un ciel d’azur au milieu de l’été ! "

+ Nom complet : Alexandre DeLarge+ Âge et date de naissance : 2 Septembre 1994 + Lieu de naissance : Laval + État civil : aucune importance + Métier/Études : voleur d'occasion + Addiction à : DMT et Beethoven + Groupe : Dimitri était un prince blanc + Personnalité sur l'avatar : Malcolm McDowell (jeune)  + Crédits : BOOGYLOU. + Les remerciemments : thks bitch + La dédicace à ton pote Jojo : SHE'S A MANIAC. MAAAAANIAC OH-OHHH.


Le caractère du personnage égocentrique + violent + hypocrite + intelligent + sensible à l'art + amoureux de Beethoven + n'a aucune pitié pour les autres + profiteur + menteur + charismatique + dirigeant + déconnecté du reste du monde + enfant roi + passionné + poète + narcissique + arrogant + ne dit jamais de mauvais mots + immature


Description brève des hallucinations Je ne consomme plus de puis un moment, ou sinon très rarement. Ces enfantillages puériles m'ont, depuis longtemps, asséché les camouilles. Mais parfois, les effets me saisissent comme les griffe de Mamie Marie. C'est comme un rivière de scintilleux diamants, qui s'approche, et qui vient, et qui va, dans mon golliwog. Des larmes de Ciel, puis des torrents de satin. Comme si tous les anges brodaient une cascade de floraisons. Les frissons trimballent le fond de ma poitrine toute ouverte, comme si l'échos venait me chercher en moi. Et alors, je reconnais, oh mes frères, la magnificience de la si sublime œuvre de Ludwig Van Beethoven qui scintille, juste pour moi, dans mon crâne bombarbeauté. Quand les louanges s'entassent dans ma cervelle fantaphoristique, il me vient les plus belles images et intentions en tête. Tous les violons sont la force de mes poing, et font jaillir le délicieux liquide rouge de la vie et de la mort toutes les timbales des Dieux. Ô douce et belle dérive qui me donne la joyeuse mélodie de l'ultra-violence.





test rp à venir au pire. je suis trop paresseuse pour déplacer mon ordi dans le salon et j'aimerais faire le rp en écoutant le film. bref. that struggle ya know.

Pseudo + BOOGYLOU YOOO Âge + 19 ans Sexe + oui Temps de connexion + k Comment as-tu connu le forum + bruh Que penses-tu du forum? + gooby pls Quel est la capitale de Honduras? + ta mèreOHHHHHHH Scénario + nope. À remplir +

Code:
<span class="point">Malcom McDowell (jeune) +</span> [i]alex delarge[/i]

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Alex DeLarge





Alex DeLarge
I'm singin' in the rain...
Mar 6 Fév - 22:24

L'histoire

"Coquine, coquine, coquine ! Vieille saleté de Soumka !"



Tout commence, si vous le voulez bien, en 1994, tout simplement à l'hôpital de Laval, banlieue mondaine de Montréal. L'enfant s'extirpe à merveille du col de l'utérus de sa mère en parfaite santé. Il a un poids normal. Une physionomie normale. Et aura une vie normale. Il n'aura besoin de rien de plus et sera comblé, comme l'unique enfant chéri d'un père sans grandes convictions et d'une mère travaillant à l'usine pour permettre les luxes de tous les jours.

Appartement de quartier douteux, petite école très affable. C'est là que le baptisé Alexandre DeLarge grandira et habitera. Habite toujours, soit dit en passant. On se fiche du début de son existence, puisqu'il est trop banal. Certainement, le petit Alex démontre un tempérament facile à vivre. Ses parents ne sont là que pour lui qui reçoit tout cuit dans le bec. Le charmant petit bambin a droit à n'importe quel caprice, puisqu'il est le trésor de ses géniteurs. D'autant plus qu'il le mérite, oh oui! C'est que le petit Alex est très intelligent. Très très intelligent, même! Il aurait été premier de classe. Conditionnel présent parce que le petit Alex n'aime pas trop se faire prier. Je m'explique.

Cinq ou sept ans, quelque chose du genre. C'est l'école tout bonnement pour le petit génie de Alex qui procure fierté à ses parents, déjà, pour être autodidacte bien avancé sur ses camarades de classe. Toujours plus que poli envers les professeurs et autres supérieurs de l'établissement scolaire, souriant et docile à souhait, il affichait le plus candide des airs. Adorable, presque. Ce qui est désolant, c'est cette fois où il a saisit les cheveux de Thomas, juste sur la nuque, pour assommer ses dents sur le coin du lavabo de la salle de bain. Bon. Cet idiot de Thomas l'avait cherché, il faut dire. Il était bien net et clair que, depuis le départ, Alex était le chef.

Jamais Thomas n'avoua le coupable de sa gencive ensanglanté, et comprit bien vite que, de toute façon, il aurait perdu tôt ou tard ses palettes supérieures. Ce n'est seulement qu'après quatre autres belles années à répertorier quelques bobos par-ci par-là que Alex fut pointé du doigt et envoyé dans un centre de réhabilitation pour jeunes délinquants. C'est là que Alex devint une perle de belle nature.

Parce que, voyez-vous, il y eut cette journée, lors de ses onze ou douze ans, qu'il entendit pour la première fois l'échos du tombeau d'un Dieu. Et ce fut dès la première et magistrale note de la neuvième symphonie de Ludwig Van Beethoven, que Alex comprit qu'il n'était définitivement pas de ce monde. Qu'il était au moins l'antéchrist de son temps, sinon davantage. Et qu'il aurait son monde, bien au dessus de tous ces débiles de camouilles et de Soumkas.

Déjà bien fermé d'esprit sur ce qu'il pouvait bien penser des autres religions, ethnies et identités mêmes - il s'était toujours fichu éperdument du mal des autres, de toute façon - il cessa de s'éprendre du roi des nazis et de sa brillance puis devint adorateur de l'autre allemand, lui étant devenu artiste. Il n'y avait d'ailleurs aucune autre meilleure forme d'élévation que d'écouter la neuvième de Beethoven. La perfection avait atteint sa perfection. Il y dédia chacun de ses battements de cœur. Devint sage? Oui. Mais seulement aux yeux de ceux qui pouvaient lui retirer sa liberté.

Vers ses treize ans il mis les pieds dans une école secondaire bien normal. On était fier de ses progrès et de son comportement. Lui, il avait plutôt réalisé que rien de tout cela n'importait. Que rien d'eux n'importait. Qu'il avait le monde a ses pieds et que se foutre de tout était bien trop plaisant pour faire autrement. Gene Kelly et Isabelle Pierre lui donnèrent raison à chanter sous la pluie comme si rien, de rien, de rien, de rien n'était. De toute façon, le temps était bon, le ciel était bleu, à fumer son DMT l'extase plein la gueule et les symphonies plein les oreilles. Et de toute façon, ses plaisirs prirent ampleur.

Bien sûre, il y eut le désir charnel auquel il s'accommoda rapidement à éjaculer entre bon nombre de petites cuisses. Puis, tout au long de son adolescence, il rencontra Pete, Deam et Georgie avec qui, si puis dire, il avait un passe-temps commun. À leurs dix-huit ans, Alex, leur dictateur adoré, voyait bien que le bar clandestin et les quelques intimidation à coup de poing devenaient ennuyant pour eux. Il décida donc qu'il était temps pour lui de bien écouter les sages portées de Ludwig Van Beethoven et de se laisser emporter dans des petites fêtes d'ultra-violence.

Du bar clandestin, on les connait maintenant bien, ces quatre jeunes hommes bourrés de violence et de folies à faire jaillir. Tous vêtus comme un groupe de fidèles, porteurs de masques sur les lieux de crime, ils inspirent maintenant le sang et la venue des flics. Et pourtant, jamais ils ne se font coincés, les rapides.

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